Video : Christophe Fauré : Cette vie et au-delà

 Invité : Christophe Fauré : Cette vie et au-delà

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[Jean-Pierre]

''Cette vie... et au-delà'' : Enquête sur la continuité de la conscience après la mort Christophe Fauré







Je suis convaincu que ceux qui ont réalisé ces recherches ont eux aussi observé le désarroi, l' angoisse , la peur et l'immense tristesse qui assaille plusieurs endeuillés et personnes agonisantes pour qui la mort n'est pas qu'un concept abstrait.



Sans doute par compassion pour les endeuillé et ceux qui angoissent face à leur mort inévitable, les chercheurs américains cités par M. Fauré, ainsi que celui-ci, me semblent tenter de rendre le plus crédible possible, entre autres, la possibilité que les proches bien-aimés, après la mort de leur corps, continuent d'exister en tant qu'entité distincte, et cela avec la même personnalité qu'ils possédaient lorsqu'on les côtoyait sur terre.



Ils accumulent les témoignages et citent probablement uniquement ceux et celles qui souhaitent plus ou moins consciemment ne pas disparaitre en tant que personnes puisqu'ils semblent croire, sans doute avec conviction, qu'ils sont surtout des entités spirituelles disposant d'une vie éternelle.



Sauf erreur (je n'ai pas lu le livre) , afin d'éviter que le doute s'installe chez ceux-ci, ces savants scientifiques se gardent d'indiquer comment il est possible que des personnes décédées puissent, sans leur corps, se souvenir, sentir, penser, parler, voir, entendre, etc. lorsqu'on les contacte.



On ne dit pas davantage comment ces chers disparus bien-aimés occuperont les premiers milliards d'années de leur existence immatérielle. Notons que cette durée initiale constitue beaucoup moins que le début de leur nouvelle vie dans un présent éternel où logiquement ils devraient, suite à leurs différentes interactions, continuer d'accumuler éternellement des souvenirs dans leur mémoire incroyablement performante(?).











Afin d'apaiser une grande souffrance, difficilement imaginable pour ceux qui ne l'on pas vécu, n'est -il pas souhaitable de supposer que notre jeune enfant décédé n'est pas perdu, on ne sait trop où, en tant que petit fantôme.



N'est-il pas préférable de considérer qu'il n'est maintenant rien ou qu'il est un avec la Source inconnaissable, inconcevable, qui à toujours constitué sa véritable identité, sa véritable nature et où, selon plusieurs mystiques, règnent la paix, l'amour et une joie sans cause.



Sa nature impersonnelle étant la même que la nôtre, ne sommes-nous pas un avec le défunt, inséparable pour l'éternité.



Malgré son apparence qui avait un âge, ne sommes-nous pas un avec sa présence immuable, hors du temps, en somme avec ce qu'il est vraiment en réalité, soit avant, pendant sa manifestation et après la mort de ce

corps.

[Jean-Pierre]

''Cette vie... et au-delà'' : Enquête sur la continuité de la conscience après la mort. Christophe Fauré





Je suis convaincu que ceux qui ont réalisé ces recherches ont eux aussi observé le désarroi, l' angoisse , la peur et l'immense tristesse qui assaille plusieurs endeuillés et personnes agonisantes pour qui la mort n'est pas qu'un concept abstrait.



Sans doute par compassion pour les endeuillé et ceux qui angoissent face à leur mort inévitable, les chercheurs américains cités par M. Fauré, ainsi que celui-ci, me semblent tenter de rendre le plus crédible possible, entre autres, la possibilité que les proches bien-aimés, après la mort de leur corps, continuent d'exister en tant qu'entité distincte, et cela avec la même personnalité qu'ils possédaient lorsqu'on les côtoyait sur terre.



Ils accumulent les témoignages et citent probablement uniquement ceux et celles qui souhaitent plus ou moins consciemment ne pas disparaitre en tant que personnes puisqu'ils semblent croire, sans doute avec conviction, qu'ils sont surtout des entités spirituelles disposant d'une vie éternelle.



Sauf erreur (je n'ai pas lu le livre) , afin d'éviter que le doute s'installe chez ceux-ci, ces savants scientifiques se gardent d'indiquer comment il est possible que des personnes décédées puissent, sans leur corps, se souvenir, sentir, penser, parler, voir, entendre, etc. lorsqu'on les contacte(?).



On ne dit pas davantage comment ces chers disparus bien-aimés occuperont les premiers milliards d'années de leur existence immatérielle. Notons que cette durée initiale constitue beaucoup moins que le début de leur nouvelle vie dans un présent éternel où logiquement ils devraient, suite à leurs différentes interactions, continuer d'accumuler éternellement des souvenirs dans leur mémoire incroyablement performante (?).









Afin d'apaiser une grande souffrance, difficilement imaginable pour ceux qui ne l'on pas vécu, n'est -il pas souhaitable de supposer que notre jeune enfant décédé n'est pas perdu, on ne sait trop où, en tant que petit fantôme.



N'est-il pas préférable de considérer qu'il n'est maintenant rien ou qu'il est un avec la Source inconnaissable, inconcevable, qui à toujours constitué sa véritable identité, sa véritable nature et où, selon plusieurs mystiques, règnent la paix, l'amour et une joie sans cause.



Sa nature impersonnelle étant la même que la nôtre, ne sommes-nous pas un avec le défunt, inséparable pour l'éternité.



Malgré son apparence qui avait un âge, ne sommes-nous pas un avec sa présence immuable, hors du temps, en somme avec ce qu'il est vraiment en réalité, soit avant, pendant sa manifestation et après la mort de ce corps.

[Georges]

Il ny a pas de pensees non duelles. Ni de visions non duelles. La pensee et la vision en tant quexperience, en dehors du Soi, est duelle. Mais la pensee n'est pas ce quest dieu. C'est une pensee. La vision n'est pas ce quest dieu, c'est une vision. La vue, la vision pure, sans pensee c'est ce quest l Etre.

[danielleg]

la femme de menage, et l'astro physicien OUI !

aux yeux de DIEU nous sommes égaux.. Dieu merci ! ;)

[Ludwina]

La question est celle des biais cognitifs... on peut accuser les américains d'avoir une vision religieuse fondamentale, mais on peut aussi accepter de prendre en compte que notre "sacro-sainte laïcité" (unique au monde ... et c'est tellement précieux pour l'arrogance française), rejette tout ce qui pourrait donner une autre approche de la vie et de la conscience : même sans aucune référence à une religion, pourquoi ne pas accepter d'explorer des expériences qui donnent une autre approche du vivant ? Sans référence à un dieu quelconque ...