Sen foutre c'est la dualité. Une nouvelle tentative de se libérer pour un moi non existant. Cest le desir dans l autre sens. Tu ne te trouveras jamais dans les expressions. Cest plutôt dans ces illusions réelles que tu te crois perdu. Une illusion au milieu des autres.

Il te faut une presence particulière ou conscience particulière pour savoir que tu as quelqu'un avec une histoire spécifique. Cela nest pas le cas tout le temps. Donc cela prouve que ce quelquun n'est pas ce que tu es. Tu dois y songer pour que ce quelquun entre en existence. Sans le songe il disparaît. Et tu ne sais pas ce qui reste. Simplement cest ce qui est. Apparemment une vie se déroule ici ou là.

Si je n'avais pas foi aux enseignements je pourrais dire qu'à la mort je ne respirerai plus ni verrai et entendrai...Mais oui ne pas être une personne parfois c'est ressenti dans des moments de bien-être très rares...C'est d'autant plus difficile que j'ai une santé désastreuse et un corps toujours plus ou moins en douleur et au mieux dans l'inconfort...D'entendre qu'il n'y a rien à faire n'est pas toujours évident. Le questionnement est sans fin et je sais que ça ne sert à rien et provient de peurs .De toute façon les questions changent d'heures en heures preuve de désordre intérieur et d'immaturité certainement... Mais je commence en m'en f....de tout çà. En tout cas merci Georges !

Tout cela est attaché à un personnage de fiction. Une naissance conceptuelle dans le relatif et la dualité. Sans conception cela existe til ? Tu as la conviction d etre quelquechose de né, et a partir de ce point tu investigues pour trouver une porte de sortie. Pourtant sans la pensee qui te permet de croire que tu existes en tant que personnage disparais tu ? Le fait d entendre, voir, ressentir, respirer disparaissent t ils sans la pensee d etre quelquun ? Non. Donc tu es avant. Tout cela se produit de toute facon car tu es l existences même.

Mais pourtant ce désir de retour "à la maison", désir ultime, ne peut quand même pas être nul. Mais une prise de conscience non ? Même s'il n'y a pas dans l'absolu de retour a effectuer. Et ce retour est parasité par ce que j'évoquais précédemment . C'est également un problème obsédant on ne peut plus duel que : je fais bien, je fais mal ou fais du bien ou du mal , cette croyance qu'il faut je ne sais quelles purifications qui seraient nécessaires ( due a des culpabilités)...oui le contrôle épuisant ! Et enfin : qui est piégé dans l'illusion?