et l'intérieur et l'extérieur ne font plus qu'un

"Dans la paix et le silence,

la peau du «je» se dissout

et l'intérieur et l'extérieur ne font plus qu'un.

La vraie sadhana est sans effort."

Nisargadatta Maharaj

Comments

[franck terreaux]

Je suppose que seul un quelque chose peut être libre ou enchainé. S'il y a le sentiment d'un quelque chose, la liberté est souvent ressenti comme la libération de chaines auxquelles on semble attaché. Si effectivement il y a des chaines, ce quelque chose éprouve le besoin de s'en libérer au travers d'une pratique spirituel. En revanche, dans le cas contraire, s'il y a le sentiment d'un rien, il est clairement vu qu'un rien ne peut être enchainé, puisqu'il n'y a rien pour l'enchainer. Un rien ne peut éprouver le besoin d'être libre puisque qu'un rien ne peut éprouver de besoin. Dans ce cas, n'y a donc aucune chaines, aucune pratique, rien. Ce n'est pas que nous n'avons rien besoin de faire, ce qui ne serai déjà pas si mal, c'est bien moins que cela, c'est tout simplement besoin de rien.

[franck terreaux]

Quelle soit là pour quelqu'un ou pour personne, on peut même se payer le luxe de vouloir s'en échapper car quoi que nous fassions, la vision est là quand même.

[Tejo]

Le seul Sadhana c'est de rester dans la vacuité de la vision sans tête.

[isa]

La clarté même!

Paix et silence sont la nature même de l'esprit, c'est ainsi qu'il y retourne sans effort.

Il joue en permanence dans des allers-retours avec la manifestation; et dire qu'il n'a jamais quitté son siège! d'où l'abondance de littérature. Le sujet est vaste et nombreux les chemins qui précèdent éventuellement le direct.

[david]

On se demande parfois pourquoi il y a autant de littérature sur le sujet étant donné que c'est si simple.