Qui joue ?

Qui joue ? Qui entend ?
D'où surgit la musique ?
Où retourne-t-elle ?

Comments

[Eric-Francis DM]

Cela n'a jamais existé que temporairement dans un espace provisoire; il n'y a de fait personne pour effacer. Juste effacement d'une illusion et ce ne sont que des mots pensés ou prononcés.

De fait, en effet, au "Royaume" il n'y a ni dernier ni premier.

Salut paisible "manira"

[manira]

Comme un desir d'un dernier mot ,d'une derniere note...mais, qu'est-ce un dernier sans premier ?
Qu'est-ce qu'effacer ce qui n'a jamais exister ?

PAIXXXXXXX " il y a "

[Eric-Francis DM]

d'écoute.

Tout est là : Le piano avec ses cordes, les touches le clavier et ceux qui l'ont inventé et fait évoluer, ceux qui l'ont fabriqué, ceux qui l'ont amené là, celui-celle qui l'a accordé...,
les doigts qui jouent et les mains, les bras etc qui permettent leur rattachement à un corps, le cerveau qui fait que c'est joué dans le rythme et dans le ton justes, le prof de piano, les parents et la lignée qui abouti à celui-celle qui joue...,
les oreilles et l'anatomie et la fonctionnalité de celui-celle qui écoute et entend...,
le système informatique et inter-nautique qui a permis l'enregistrement de cette vidéo...
et puis José qui l'a récupéré et placé sur son blog que nous venons visiter et sur lequel nous plaçons nos avis et opinions...
Il y a aussi Douglas et ses enseignements sans les quels nous ne serions sans doute pas là à échanger des points de vues.

Tout cela est "nécessaire" et s'efface dans le vécu sans définition du "il y a".

"Shabat Shalom"

[Eric-Francis DM]

Notre ego issu du collectif est prêt à tout pour arriver..... à la contemplation.


Il est bon de jouer à s'amuser loin des pentes "dangereuses".
Jouer avec les mots sans se la jouer...

L'autre jour, un jour, assis, le sans ego s'est éveillé du sommeil d'un moi connu de longue date avec lequel "je" côtoyais la vie.
L'en face, un jardin en surplomb avec piscine semblant se prolonger dans la mer et le port aménagé, s'est révélé dans sa simplicité et nudité.
Il n'y avait plus rien qui se disait contempler; juste une présence à ce qui était là sans chercher à y être.
Ceci a eu comme "prémisse-porte", la pensée fugitive de la situation décrite par Jean Klein à Marine drive.

Alors, oui, il n'y a pas de côté à définir, pas de pente de côte à grimper ou descendre, pas mêmes de contemplation sans contemplateur; c'est et il n'y peut y avoir à proprement parler, d'expression pour dire ce qui "se joue" alors.

[Eric-Francis DM]

Notre ego issu du collectif est prêt à tout pour arriver..... à la contemplation.


Il est bon de jouer à s'amuser loin des pentes "dangereuses".
Jouer avec les mots sans se la jouer...

L'autre jour, un jour, assis, le sans ego s'est éveillé du sommeil d'un moi connu de longue date avec lequel "je" côtoyais la vie.
L'en face, un jardin en surplomb avec piscine semblant se prolonger dans la mer et le port aménagé, s'est révélé dans sa simplicité et nudité.
Il n'y avait plus rien qui se disait contempler; juste une présence à ce qui était là sans chercher à y être.
Ceci a eu comme "prémisse-porte", la pensée fugitive de la situation décrite par Jean Klein à Marine drive.

Alors, oui, il n'y a pas de côté à définir, pas de pente de côte à grimper ou descendre, pas mêmes de contemplation sans contemplateur; c'est et il n'y peut y avoir à proprement parler, d'expression pour dire ce qui "se joue" alors.